Que visiter? La baie de Guanabara – Quelques îles

Quelques îles de la baie de Guanabara

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À l’intérieur-même de la baie se trouvent pas moins de 130 îles comme :

Ilha do Governador  (île du Gouverneur)

En 1952, fut inauguré l’Aéroport international de Galeão, agrandi en 1977 pour accueillir des vols longues distances et qui occupe désormais toute la partie occidentale de l’île. À l’époque, le Galeão était la plus grande plateforme aéroportuaire du Brésil, avec une capacité de six millions de passagers par an.


Ilha da Paquetá  (île de Paquetá)

                              Ilha da Paquetá

Son nom vient du tupi et signifie « beaucoup de pacas ». Lieu touristique, l’île est interdite aux voitures.

Longueur Maximale : 2,3 km

Superficie : 1,7 km2

La balade se fait en bateaux en 70 minutes environ Il y a environ 15 km avec une vue fantastique sur la Baie de Guanabara, l’île Fiscal, le pont Rio/Niterói, etc…


Ilha Fiscal  (île Fiscale)

      Ilha Fiscal – Vue de la Praça Quinze

Elle se situe dans la baie Guanabara, non loin du centre historique de Rio de Janeiro. Surnommée l’île des Rats par les européens à leur arrivée, son nom actuel rappelle la fonction qu’elle occupait au XIXe siècle, celle de poste douanier qui gérait le port de la ville.

Le site est entré dans l’histoire pour avoir été le théâtre du fameux « bal de l’île Fiscal », ultime fête de l’Empire avant la proclamation de la République en novembre 1889 et abrite désormais un musée historique gérée par la Marine brésilienne.


Ilha de Villegagnon  (île de Villegagnon)

Elle doit son nom à Nicolas Durand de Villegagnon, explorateur français qui tenta d’établir la présence française dans la baie en 1555. Elle était alors appelée Serigipe par les Indigènes et Ilha das Palmeiras par les Portugais.

Il fit bâtir sur cette île le Fort Coligny et créa sur la côte le bourg d’ Henriville, dans la région de l’actuelle plage de Flamengo, préfiguration de la ville de Rio, avant même que les Portugais ne songent à s’y installer. L’ensemble de ces colonies était alors appelé la France antarctique. Elle héberge aujourd’hui l’école Navale, reliée par deux ponts à l’aéroport Santos Dumont.

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